La technologie ne suffit pas à réduire les fractures du savoir
Está decorrendo entre 7-10 de junho de 2009 em Maastricht na Holanda a 23rd ICDE World Conference on Open Learning and Distance Education
No evento o "sous-directeur général de l’UNESCO pour la communication et l’information, Abdul Waheed Khan" fez uma interessante intervenção subordinada ao tema: "La technologie ne suffit pas à réduire les fractures du savoir"
De acordo com o palestrante, "La technologie ne permettra pas à elle seule de réduire les fractures de l’information et du savoir. Il faut développer des environnements politiques et sociaux propices à la création, la préservation, l’acquisition et le partage du savoir."
M. Khan a expliqué que “le savoir joue, dans notre monde moderne, un rôle clé dans la croissance économique, le développement social, l’enrichissement culturel et la responsabilisation politique”.
Na intervenção de M. Khan ainda foi possível ouvir afirmações tais como:
"Mais pour que l’acquisition et le partage du savoir à l’aide des TIC soient efficaces, durables et profitent à de larges segments de la société, nous devons créer des environnements propices, mettre en place des infrastructures appropriées et établir des partenariats multilatéraux, a insisté M. Khan.
En présentant le concept de sociétés du savoir de l’UNESCO qui se distinguent de la société de l’information par les dimensions d’intégration, de pluralisme, d’équité, d’ouverture et de participation, M. Khan a précisé que “les sociétés du savoir ne doivent pas être façonnées et mues par les forces technologiques mais par des choix de société”.
Ce concept est soutenu par quatre principes clés : la liberté d’expression, l’accès universel à l’information et au savoir, le respect de la diversité linguistique et culturelle, et une éducation de qualité pour tous. Selon M. Khan, ces principes “restent valables alors que le monde traverse l’une des crises les plus graves depuis des décennies, si ce n’est des siècles”. “Mon optimisme s’appuie sur le fait que les responsables gouvernementaux sont de plus en plus conscients que les investissements dans les domaines vastes et complexes du savoir sont indispensables pour jeter les bases de la reprise, du développement durable, de la croissance économique et de la prospérité”, a ajouté M. Khan.
Il a également expliqué que dans les décennies à venir l’acquisition du savoir factuel perdra de son importance. Dans le même temps, la capacité de se retrouver dans les systèmes d’information complexes et de juger, organiser et utiliser de manière créative les données pertinentes deviendra cruciale. Par ailleurs, l’acquisition de nouvelles compétences est indispensable pour vivre dans les réseaux sociaux virtuels et créer son propre contenu en ligne".
Postado em 09 de junho de 2009 por João José Saraiva da Fonseca
No evento o "sous-directeur général de l’UNESCO pour la communication et l’information, Abdul Waheed Khan" fez uma interessante intervenção subordinada ao tema: "La technologie ne suffit pas à réduire les fractures du savoir"
De acordo com o palestrante, "La technologie ne permettra pas à elle seule de réduire les fractures de l’information et du savoir. Il faut développer des environnements politiques et sociaux propices à la création, la préservation, l’acquisition et le partage du savoir."
M. Khan a expliqué que “le savoir joue, dans notre monde moderne, un rôle clé dans la croissance économique, le développement social, l’enrichissement culturel et la responsabilisation politique”.
Na intervenção de M. Khan ainda foi possível ouvir afirmações tais como:
"Mais pour que l’acquisition et le partage du savoir à l’aide des TIC soient efficaces, durables et profitent à de larges segments de la société, nous devons créer des environnements propices, mettre en place des infrastructures appropriées et établir des partenariats multilatéraux, a insisté M. Khan.
En présentant le concept de sociétés du savoir de l’UNESCO qui se distinguent de la société de l’information par les dimensions d’intégration, de pluralisme, d’équité, d’ouverture et de participation, M. Khan a précisé que “les sociétés du savoir ne doivent pas être façonnées et mues par les forces technologiques mais par des choix de société”.
Ce concept est soutenu par quatre principes clés : la liberté d’expression, l’accès universel à l’information et au savoir, le respect de la diversité linguistique et culturelle, et une éducation de qualité pour tous. Selon M. Khan, ces principes “restent valables alors que le monde traverse l’une des crises les plus graves depuis des décennies, si ce n’est des siècles”. “Mon optimisme s’appuie sur le fait que les responsables gouvernementaux sont de plus en plus conscients que les investissements dans les domaines vastes et complexes du savoir sont indispensables pour jeter les bases de la reprise, du développement durable, de la croissance économique et de la prospérité”, a ajouté M. Khan.
Il a également expliqué que dans les décennies à venir l’acquisition du savoir factuel perdra de son importance. Dans le même temps, la capacité de se retrouver dans les systèmes d’information complexes et de juger, organiser et utiliser de manière créative les données pertinentes deviendra cruciale. Par ailleurs, l’acquisition de nouvelles compétences est indispensable pour vivre dans les réseaux sociaux virtuels et créer son propre contenu en ligne".
Postado em 09 de junho de 2009 por João José Saraiva da Fonseca
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